dimanche 31 octobre 2010

Qu’auriez-vous à y gagner ?

Qu’auriez-vous à gagner à acheter mon livre ?



  • Auriez-vous moins de travail ? C'est peu probable. 
    Mieux organisé, pourriez-vous plus facilement y faire face ? Très certainement


  • Subiriez-vous moins de pression sociale ? C’est peu probable. 
    Sauriez-vous comment faire face et comment y résister ? Très certainement


  • Rencontreriez-vous moins de problèmes ? C’est peu probable. 
    Auriez-vous le bon état d’esprit pour les supporter plus facilement et trouver rapidement des solutions ?Très certainement


Voilà 3 exemples dans lesquels mon livre vous est indispensable. Mais, il le sera dans de nombreuses autres situations. C’est un guide qui vous accompagnera chaque jour de votre vie. 

Alors, ne perdez pas une minute, allez vite l’acheter dans votre librairie habituelle ou commandez-le sur internet en cliquant ci-dessous : 

Maxima : maxima.fr 
Amazon : amazon.fr 
Alapage : alapage.com, etc. 




samedi 30 octobre 2010

On parle de mon livre...


On parle de mon livre dans L'Echo des Reulettes de Vendin





L'Echo des Reulettes, Bulletin d'informations municipales de Vendin-lez-Béthune, octobre 2010, p. 2. 



jeudi 28 octobre 2010

Avez-vous réussi votre vie ?



Un sondage de août 2009 indiquait que près de 75 % des Français déclaraient qu'ils avaient réussi leur vie... Chiffre très contradictoire avec ce que l'on voit autour de nous. Mensonge ou réalité ? Qu'en pensez-vous ? Moi, j'ai ma petite idée là-dessus...


Un sondage internet du vendredi 9 octobre 2009, paru dans Enfant Magazine, s’est intéressé aux personnalités féminines qui symbolisent la réussite et aux idées qu’ont les femmes de leur propre réussite. Les résultats sont les suivants.

La personnalité qui symbolise la réussite est Vanessa Paradis (18 %) pour les personnalités artistiques. Pour les politiques, il s’agit de Simone Veil (14 %). Parmi les vedettes de la télé, on trouve Claire Chazal et Marie Drucker. Les 1000 sondés (hommes et femmes) devaient choisir sur une liste imposée. 

Maintenant, pour ce qui est de la réussite personnelle, 85 % des femmes interrogées considèrent que leur vie familiale est satisfaisante ; 78 % que leur vie amoureuse est satisfaisante, 73 % leur vie sexuelle et 59 % leur vie professionnelle. 74 % ont le sentiment d’avoir réussi leur vie ou d'être bien parties pour le faire. 76 % des hommes interrogés pensent la même chose. 

Ces chiffres sont éloquents et je dois dire qu’ils m’ont un peu surprise. Je ne pensais pas qu’une telle majorité de femmes et d’hommes avaient le sentiment d’avoir réussi leur vie. C’est merveilleux ! 

Quand on voit le nombre de personnes qui sont malheureuses, qui n’arrivent pas à s’en sortir, qui sont au chômage, qui se retrouvent seules, qui ont les plus grandes difficultés à joindre les deux bouts, qui souffrent profondément de la crise, qui se suicident au travail, etc., on ne peut que penser qu’elles ne constituent, en fait, qu’une minorité. Et, qu’il est ridicule d’en parler, de vouloir les aider tellement elles sont peu nombreuses. Vraiment, les journalistes devraient avoir honte de titrer leurs journaux sur la crise, sur le monde qui va mal. Ils ne se sont pas rendu compte que le monde est merveilleux, que tout va bien, que la majorité des gens vont bien, même très bien. 

Si c’est le cas, alors pourquoi tant de gens se plaignent ? Ils mentent, ils veulent que l’on ait pitié d’eux ? Pourquoi tant de gens cherchent du soutien, recherchent des solutions pour mieux s’en sortir ? 

A mon avis, s’ils le font, c’est qu’ils considèrent qu’ils n’ont pas encore réussi leur vie, que leur situation familiale ou professionnelle ne les satisfait pas totalement. Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, quand je regarde autour de moi, je n’ai pas l’impression que près de 75 % des gens ont le sentiment d’avoir réussi leur vie ou pensent la réussir bientôt. Je rencontre plutôt une majorité de personnes pessimistes, qui n’ont plus foi en l’avenir. Certes, quelques-uns sont satisfaits de leur sort mais ils sont loin d’atteindre 75 %. 

Peut-être que nous ne fréquentons pas les mêmes personnes… Je ne dis pas que le sondage est faux ou truqué. Il m’interpelle et me surprend, c’est tout. Le fait qu’il ait été réalisé les 14 et 15 août, en pleines vacances estivales, à un moment où les gens sont moins stressés, plus sereins, plus heureux, explique peut-être cela… ?! 

Attention, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je serais pleinement heureuse de voir autant de personnes satisfaites de leur vie. Je ne demande que ça. Mais, malheureusement, la réalité est toute autre. 

C’est pour cette raison que j’ai écris mon livre « Vous avez tout pour être heureux ». Je vous aide àreprendre votre vie en main et avoir enfin la vie dont vous rêvez. Grâce à moi, vous serez effectivement plus nombreux à pouvoir vous ranger dans la catégorie des gens qui ont réussi leur vie !  


Crédit photo : Clipart © Microsoft Office

lundi 25 octobre 2010

Apprenez à être heureux quelle que soit votre situation !


C’est facile d’être heureux quand tout va bien !


Vous vous dîtes certainement que c’est facile d’être heureux quand tout va bien. 

Si vous avez le travail, le compagnon, l’argent, la maison, une famille adorable, etc., vous pouvez plus facilement être heureux.

C’est d’une logique implacable, même si parfois, il arrive que ces personnes qui possèdent tout, ne nagent pas pour autant dans le bonheur. 

Par contre, si vous avez des problèmes, si vous n’arrivez pas à vous en sortir, si vous cumulez les difficultés, etc. vous vous dîtes certainement que c’est impossible d’être heureux. Et, là aussi, c’est d’une logique implacable. Au chômage, sans argent, seul, on ne peut pas dire que vous soyez fait pour le bonheur. 

Pourtant, tout le monde est fait pour le bonheur. Tout le monde a droit au bonheur. Il sera plus difficile à atteindre pour certains que pour d’autres, c’est sûr… 
Mais, au final, si vous apprenez à être heureux, si vous connaissez les moyens de parvenir à améliorer votre vie, d’accéder au bonheur, vous serez heureux. Ca aussi, c’est d’une logique implacable ! 

Quelle que soit votre situation, vous pouvez être plus heureux dans la vie ! Si vous avez déjà acquis cette certitude, vous aurez déjà franchi un grand pas vers votre bonheur. 
Une seule personne peut vous empêcher d’être heureux : VOUS ! 

C’est précisément pour cette raison que j’ai écrit mon guide : « Vous avez tout pour être heureux. Le livre pour améliorer votre vie ». Je voulais montrer que, quelles que soient les situations, il est possible d’être heureux, à condition de savoir comment s’y prendre. 


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jeudi 21 octobre 2010

"Il y a mieux à faire dans la vie qu'un travail qu'on n'aime pas"


C'est le slogan d'une société londonienne "Scape the City" qui propose aux financiers de la City, qui ne sont plus heureux dans leur travail, de changer de vie !




Cette société a été créée par Robert Symington et Dominic Jackman, d'anciens financiers de la City, gagnant beaucoup d'argent, mais qui ont fini par s'ennuyer et par perdre leur motivation.

Ayant remarqué que beaucoup de leur collègues étaient dans leur cas, ils ont décidé de créer leur agence destinée exclusivement aux financiers de la City. Ils leur proposent de changer d'entreprise, de devenir leur propre patron ou de tenter l'aventure, en voyageant, par exemple. [Source : Courrier International du 20 octobre 2010 : "Oser la reconversion" de Bastian Heinrichs.] 
  
Bref, ils les aident à changer de vie, pour, but ultime, être plus heureux dans la vie ! 

Pas mal comme concept. J'en parle d'ailleurs dans mon livre. 

Changer de vie peut constituer un moyen d'être plus heureux dans la vie. Mais, pour pouvoir franchir le pas, il faut une bonne préparation. En France, des agences du même type existent aussi. 

Partir, tout quitter d'un coup de tête peut s'avérer plus néfaste que salutaire. Simplement améliorer certains domaines de votre vie peut suffire pour que vous accédiez enfin au bonheur. 

Avant de tout balancer, réfléchissez bien. Voyez si cela vaut le coup. Prenez le temps d'analyser votre situation actuelle, de mettre tout à plat et de modifier, si nécessaire, certains de vos comportements, de vos traits de caractère ou de vos mauvaises habitudes. Dans mon livre, je vous facilite la tâche et vous fait gagner du temps en vous montrant, étapes par étapes, comment vous y prendre. 

Il y a de fortes chances que ce cheminement soit suffisant pour vivre la vie dont vous rêvez


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mercredi 20 octobre 2010

Chat noir, mauvais œil... Mythes ou réalité ?


« Chat noir », « Mauvais œil », etc. des expressions très courantes employées quand la vie ne se déroule comme on veut, quand on pense avoir tous les malheurs. Mais, le mauvais œil ou le chat noir existent-ils vraiment ? Peut-on s’en débarrasser facilement ?



Le "chat noir" ou le "mauvais oeil" sont invoqués par qui ? 

Généralement, ce sont des personnes qui font tout pour s’en sortir, en se démenant, mais qui n’y parviennent pas. Des obstacles leur barrent sans arrêt la route. Leur situation qu’elles jugent injuste, les affecte d’autant plus qu’elles voient autour d’elles des individus pour qui tout réussit. Il leur suffit presque de claquer des doigts pour que tout leur tombe du ciel. Ils pensent à quelque chose et paf ! ça leur arrive de suite. Il semble qu’ils soient de sacrés veinards, qu’ils aient une chance inouïe et qu’ils n’aient pas besoin de travailler beaucoup pour réussir tout ce qu’ils entreprennent.

Face à cette réussite insolente, les « malchanceux » se sentent victimes d’injustices. Ils se démènent et rien ne marche pour eux. Ils ne comprennent pas pourquoi, ils sont désemparés. Ils s’imaginent que quelque chose les bloque. Ce « quelque chose », ils ne parviennent pas à le définir, à le désigner précisément. Ils finissent par penser que leur malchance, leurs malheurs viennent d’une force supérieure, occulte : du chat noir ou du mauvais œil, par exemple. 

N’est-ce pas bien commode d’invoquer une force occulte pour expliquer le manque de réussite ? 

Cela n’évite-t-il pas de se remettre en cause ? Certes, il peut arriver que vous connaissiez des échecs dans la vie, que vous ayez effectué des démarches pour vous en sortir sans que cela ne mène à rien. A force de subir ces déboires, vous finissez par vous dire que vous n’avez pas de chance, que tout ce que vous ferez vous mènera à l’échec, que vous êtes victime de la fatalité. 

Mais, n’avez-vous jamais pensé qu’un tel raisonnement, assez habituel, était justement déraisonnable ? 

Savez-vous que c’est le meilleur moyen de ne pas vous en sortir ? C’est la meilleure façon de ne pas avancer, de rester au point mort, de ne pas évoluer et de continuer à subir les revers. 
C’est vrai que certaines situations difficiles peuvent paraître tellement inextricables, tellement injustes, qu’il peut arriver que vous vous demandiez si quelque chose ou quelqu’un, une force mystérieuse, ne vous en veut pas et vous empêche de réussir ce que vous entreprenez. Si vous êtes coutumier des échecs à répétition, il est normal que vous pensiez ainsi ne comprenant pas ce qui vous arrive. 

Or, la force de votre pensée est telle que vous attirez à vous ce que vous pensez. 

Appelez cela loi de l’attraction ou méthode Coué ou pensée positive (qui a son contraire pensée négative), peu importe. Ce qui est essentiel, c’est que vous sachiez que si vous pensez toujours à vos malheurs ou à votre malchance, vous attirez à vous les malheurs et la malchance. 

Ainsi, si vous pensez de manière négative sans arrêt, changez dès maintenant votre état d’esprit. Mettre sur le dos d’une force supérieure vos revers, ne vous fera pas avancer. La meilleure façon de connaître la réussite, c’est de se bouger et de persévérer. N’oubliez pas que la clé du succès, c’est vous. 

Les échecs, tout le monde en connaît, même ceux pour qui tout semble réussir. Vous devez apprendre à les contourner et à repartir de plus bel. Vous devez apprendre à changer votre façon de penser, à vous reprendre en main, à penser de manière positive, à vous fixer les bons objectifs pour réussir et être plus heureux dans la vie. Pour y parvenir plus facilement, procurez-vous mon livre : « Vous avez tout pour être heureux. Le livre pour améliorer votre vie », éd. Maxima. 
Crevez le « mauvais œil », vous y verrez plus clair. Votre horizon ne vous apparaîtra plus bouché. Vous avez votre avenir entre vos mains. 



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lundi 18 octobre 2010

Joly leçon de vie d’une parkinsonienne


Pourquoi se plaindre ?



Photo de Sylvie Joly, tirée de son site officiel SylvieJoly.com

- « Vous ne vous plaignez absolument pas ! »

- « Non, ça ne sert à rien. Si ça devait me guérir, je le ferais. Mais ça change rien. Au contraire, c’est encore plus pénible » 

Voici la réponse qu’a faite Sylvie Joly à Thierry Demaizière dans une interview diffusée hier, 17 octobre 2010, dans l’émission Sept à Huit

Sylvie Joly était chez elle, dans son fauteuil roulant, très diminuée à cause de la maladie de Parkinson qui s’est déclarée il y a trois ans et demi et qui l’a contrainte à abandonner ses spectacles d’humour. Elle est atteinte d’une Parkinson très sévère qui l’empêche de marcher et qui l’oblige à rester au lit très souvent.

Pourtant, de l’humour, elle en a encore à revendre. Bien évidemment, elle souffre de sa « PDP » (Putain De Parkinson) qui est « fort pénible » à vivre, mais elle a décidé d’en rire. Elle est même prête à aller sur scène avec sa chaise roulante pour faire un spectacle de 10 minutes. 
L’humour est sa bouée de sauvetage, sa manière de continuer à avancer. « Quand on fait rire, ça guérît les gens ! » 

Et, pour ce qui est de se plaindre, ça non ! Elle a souffert et continue à « souffrir le martyre », mais elle ne s’est jamais plaint. Elle a continué et continue à avancer et à faire rire les autres. 

Quelle belle leçon de vie !
 

Un beau message d'optimisme à méditer pour tous ceux qui souffrent et qui pensent qui ne s’en sortiront jamais. Je partage tout à fait sa façon de voir la vie, je l’ai d’ailleurs écrit dans mon livre, en donnant des conseils pour y arriver plus facilement. 



samedi 16 octobre 2010

Pour 10 000 euros, je vous vends mon Bonheur !


« Qui qu’en veut » ?!



Alors qui est preneur ? Qui veut mon Bonheur pour 10 000 euros ?

Bon, je vous fais l’article : mon Bonheur est simple mais largement suffisant pour que, tous les matins, je me lève en pleine forme et pleine d’enthousiasme sachant que ma journée va se dérouler le mieux du monde. Je suis calme et sereine. J’envisage l’avenir avec optimisme. Les problèmes, je cherche les moyens de les régler rapidement. Bref, je suis heureuse ! 

Mais croyez-vous vraiment que je sois prête à vendre mon Bonheur et ce, pour 10 000 euros ? Ce Bonheur qui m’est très cher et que j’ai mis du temps et beaucoup d’énergie à conquérir ? 

Bon j’avoue, je ne suis pas vendeuse. 

Le Bonheur ne se vend pas, ne s’achète pas mais… il s’apprend ! 

Toutefois, je peux partager avec vous une partie de mon Bonheur, en vous montrant comment être plus heureux dans la vie, en vous donnant des conseils pour améliorer tous les compartiments de votre vie et ce, pour le prix d’un livre. C’est pas cher payé, vous ne croyez pas ? 

Je sais que certaines personnes aimeraient pouvoir acheter le Bonheur. Mais, c'est à chacun de construire son propre bonheur. Cela peut vous paraître inaccessible pour l'instant, mais, à partir du moment où vous connaîtrez la bonne démarche à suivre, vous n’hésiterez plus et vous foncerez en quête de votre Bonheur ! 



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jeudi 14 octobre 2010

Ne renoncez pas ! Inspirez-vous de l'histoire des battants !


Cherchez le déclic


Tous les jours, les médias évoquent des histoires de personnages qui réussissent, à force de volonté, à s’en sortir malgré tout.

Hier matin, sur RTL, a été mise en lumière l’histoire d’une jeune mère de 4 enfants qui avait 1400 euros par mois pour faire vivre sa famille. Elle avait 600 euros de loyer. Mais, elle ne se disait pas malheureuse parce qu’elle avait un toit. Elle continuait à se battre ! 
Ce matin, sur RTL, les journalistes ont parlé de Fernand Néault, paraplégique à la suite d’une polio et qui est resté à l’hôpital pendant plus de 50 ans. Seuls ses orteils fonctionnaient encore. Pourtant, comme le dit sa famille, il était un battant et voulait toujours aller de l’avant. Il écrivait, surfait sur le net et a passé des concours par correspondance. Il n’a jamais renoncé à vivre ! 
Enfin, je n’oublie pas l’histoire extraordinaire des mineurs chiliens qui sont sortis de leur trou grâce à un pays qui a toujours été derrière eux et grâce à leur volonté qui les a faits tenir. Ils n’ont jamais renoncé à vivre, ils se sont battus jusqu’au bout ! 

Ces personnages sont-ils si extraordinaires ? 
Non non, ils sont comme vous et moi. Ce sont des gens simples qui ont subi ou subissent les aléas de la vie. Et, ils ont décidé de s’en sortir et d’être heureux malgré tout. Ils sont la preuve vivante que c’est possible ! 

Si vous voulez un autre exemple concret de quelqu’un qui s’en est sorti malgré les obstacles et les échecs, n’hésitez pas à vous procurer mon livre : « Vous avez tout pour être heureux ». J’y retrace mon parcours et surtout les moyens que j’ai mis en œuvre pour pouvoir dire aujourd’hui : « je suis heureuse ». 

N’hésitez pas à vous inspirer de ses histoires simples. Elles peuvent être le déclic pour vous empêcher de renoncer et pour vous montrer qu’il est possible de s’en sortir. 

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samedi 9 octobre 2010

Que dira-t-on de vous à votre enterrement ?


Quelle sera votre épitaphe ?


Si vous avez assisté à des enterrements, vous avez certainement entendu des épitaphes que je qualifierais « d’officielles », celles énoncées par les enfants, les petits-enfants, le prêtre, le maître de cérémonie. 

Généralement, élogieuses, elles retracent la vie de la personne décédée énumérant ses actions, ses nombreuses qualités et cachant bien souvent ses mauvais comportements, ses défauts. 

A côté de cela, si vous laissez traîner vos oreilles, vous entendrez des connaissances, des voisins, des amis discuter entre eux et dire des choses du genre : « il était méchant avec sa femme », « il était coureur », « elle buvait beaucoup », « elle a trompé son mari plus d’une fois », « il était fainéant », j’en passe et des meilleures. On peut qualifier ces épitaphes de « non officielles ». 


Laquelle des deux prendre en compte finalement ? 

La première est de circonstances : ce serait mal vu, voire indécent de commencer à déblatérer sur la personne qui vient de décéder. La seconde peut être parfois cruelle mais semble plus proche de la vérité. 

L’épitaphe non officielle est prononcée par des individus qui connaissaient la personne décédée et qui, ne pensant être entendus de personne à l’enterrement, ont décrit ce qu’elles ont vu. Bien entendu, certains voisins ou amis, mal intentionnés, peuvent exagérer les choses mais il reste toujours un soupçon de vérité dans ce qu’ils disent. 

Et, vous, quelle sera votre épitaphe ? Que croyez-vous que l’on dira de vous quand vous serez décédé ? 

Je sais, c’est une question très délicate à se poser, peut-être même hors de propos pour vous qui vous sentez en pleine forme, dans le force de l’âge. 

Mais vous interroger sur ce point ne doit pas être morbide, malsain ; cela ne signifie nullement que vous allez mourir bientôt. 

Au contraire, je dirais même que cela peut vous aider à vivre mieux. En vous demandant quelle sera votre épitaphe plus tard, vous vous interrogez obligatoirement sur votre vie, sur votre façon de vous comporter avec les autres. Si votre caractère n’est pas facile, si vous apparaissez aux yeux des autres comme quelqu’un de méchant, si vous buvez trop, si vous ne vous occupez pas bien de vos enfants, si vous négligez votre famille, etc., sachez que tous vos travers seront dénoncés dans votre épitaphe. 

D’un autre côté, vos bonnes actions, vos qualités, votre altruisme seront également louangés. 

Ainsi, ne vous demandez pas seulement quelle sera votre épitaphe mais surtout quelle épitaphe voudriez-vous que l’on fasse de vous. De cette façon, c’est à vous de vous prendre en main, de changer de comportement, d’améliorer votre conduite pour coller au mieux à l’épitaphe que vous voudriez que l’on fasse de vous. 

N’ayez donc pas peur du terme « épitaphe » : il peut vous aider à changer votre vie, si c’est nécessaire. Essayez d’avoir une vie exemplaire, tout au moins tentez de vous en approcher. 

Penser à votre épitaphe, c’est juste un moyen de reprendre en main votre vie, de vous interroger sur vos actions, vos réactions, votre façon de penser, de réagir. Et, surtout, le but ultime, c’est de vous amener à réfléchir sur la façon de changer et de mettre tout en œuvre pour y parvenir

Si vous ne savez pas comment reprendre votre vie en main et en changer certains éléments qui vous la gâchent, procurez-vous de ce pas mon livre. Après l’avoir lu et surtout appliqué tous ses conseils, vous ne pourrez plus dire que c’est difficile de changer, que c’est dur d’être heureux. Vous n’aurez plus aucune excuse. Si vous continuez à vivre une vie qui ne vous plaît pas, c’est parce que vous l'aurez voulu ! 

Ma dernière phrase est un peu dure mais vous vous êtes tellement répété que vous ne pourrez changer, que vous serez tout le temps malheureux, qu’inconsciemment, vous êtes bloqué et que vous ne parvenez pas à reprendre le dessus et à vous libérer de vos « chaînes » mentales. Là aussi, mon livre vous aide à vous débarrasser de tous vos blocages. 
Je sais bien que vous ne serez pas là pour entendre ce que l’on dira de vous lors de votre enterrement, mais n’est-il pas plus satisfaisant de penser, de savoir, de votre vivant, que l’on vous complimentera, que vous ne ferez pas honte à votre famille… de savoir, qu’au final, vous aurez réussi votre vie tout simplement ! 



mercredi 6 octobre 2010

Mon "coup de gueule" du jour


Il y a des propos qui me font bondir




Aujourd’hui, j’aimerais lancer un petit « coup de gueule »… 

Je viens encore d’entendre un truc qui me fait bondir à chaque fois. 

Une certaine personne, que je ne nommerais pas, vient de dire ceci, à propos d’une autre personne qui est, en ce moment, un peu déprimée à cause d’un petit problème : 

« Tu sais, c’est son caractère, elle est comme ça, elle ne peut pas changer ! Elle s’en fait pour pas grand-chose, elle ne peut rien y faire. » 

SI, elle peut y faire quelque chose ! Elle peut au moins essayer de changer ! 

Alors, si on suit le raisonnement de cette personne, si vous êtes méchant, déprimé, malheureux, pessimiste, timide, antipathique, odieux, trop réservé, anxieux, angoissé, nerveux, râleur, sans scrupules, soucieux… j’en passe et des meilleurs…, vous ne pouvez rien y faire, c’est comme ça, c’est votre caractère ! 

Eh bien, je dis NON ! 

Arrêtez de penser une chose pareille. Il est toujours possible de changer dans la vie, pour tendre vers le meilleur. Je dis bien vers le meilleur, pas vers le parfait. Comme vous le savez, nul n’est parfait mais on peut au moins s’améliorer. 

Si, moi-même, j’avais suivi le raisonnement, je serais certainement restée timide, angoissée, renfermée, aigrie, râleuse, sans ambition, bref, je serais passée à côté du bonheur tout simplement. 

J’ai fini par comprendre que la vie est courte et qu’il faut la rendre la plus belle et la plus agréable possible. Même si au départ, cela demande une remise en cause et de petits efforts, cela ne vaut-il pas le coup de s’améliorer pour avoir une vie meilleure ? 

Cela n’est pas aussi difficile qu’il y paraît, mon livre vous prouve que c’est possible !
 

mardi 5 octobre 2010

La vraie vie, c’est quoi pour vous ?


En quête du sacré graal !


J’éprouve parfois les plus grandes difficultés à faire admettre aux gens que je suis heureuse.

Certaines personnes ne me croient pas quand je leur dis que je suis heureuse dans la vie, que je vis une vie calme sans grandes contrariétés et disputes, que je ne suis pas stressée, que je suis optimiste, que je positive les situations problématiques qui pourraient se présenter à moi, que j’envisage l’avenir avec sérénité, que je croque la vie à pleines dents, que je sais ce qu’est le bonheur

Récemment, quand j’ai avoué à une de mes connaissances que j’étais pleinement heureuse de ma vie, elle m’a répondue : « oui, mais ça, c’est pas la vraie vie ! » 
Cette réponse m’a un peu déstabilisée. Mais, très vite, je lui ai répondue : 
« Pourquoi la vraie vie pour toi, c’est quoi ? Etre toujours stressée, en colère, pessimiste, malheureuse, broyer du noir à longueur du temps, ne plus croire en l’avenir, se disputer continuellement avec son conjoint ou ses enfants, sombrer dans la déprime à chaque petit problème, etc. ? » 
Et, là, vous vous en doutez, elle n’a pas su quoi dire. 

Je comprends parfaitement que certaines personnes ne me croient pas quand je dis que je suis heureuse de ma vie. Cela leur paraît tellement utopiste, inaccessible, inenvisageable pour elles. C’est un peu un graal qu’elles voient de loin, même très loin et qu’elles n’arrivent pas à atteindre. 

Oui, mais, se sont-elles donné tous les moyens pour justement atteindre ce graal, pour trouver leur bonheur ? 
Croyez-vous que je sois surhumaine, une personne naïve qui vit dans le pays des Bisounours où tout est beau, où tout est rose ? 

Détrompez-vous, c’est loin d’être le cas ! J’ai vécu des choses difficiles, comme tout le monde. 

Mais, j’ai décidé d’être heureuse ! 

Ha oui, j’ai oublié de vous faire part de la suite de la conversation avec cette connaissance qui m’a dit que je ne vivais pas dans la vraie vie. 
La voyant perplexe et interloquée, j’ai continué à lui parler en lui disant comment je suis arrivée à être heureuse aujourd’hui. Je lui ai expliquée mon parcours jalonné d’embûches. Je lui ai exposée quelques idées que j’ai développées dans mon livre. Je lui ai dévoilée quelques astuces décrites dans mon livre qui m’ont aidée à trouver le bonheur. 

Et, là, devinez ? 

Elle a compris une chose, que finalement, il était possible d’être heureux et que, dorénavant, son objectif sera de vivre la vraie vie, une vie faite de joies, de bonheurs et de belles rencontres ! 



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dimanche 3 octobre 2010

Pour en finir avec les cons !


Méfiez-vous, ils sont partout !

Tout le monde connaît ou a connu au moins un con dans sa vie. 
Vous savez, ces individus qui prennent un malin plaisir à vous saouler sans arrêt, à vous harceler, à vous prendre la tête à longueur de temps pour un oui ou pour un non, à vouloir diriger votre vie, à vous prendre pour un moins que rien, à vous humilier, etc. 

Moi aussi, je m’en suis coltinée, j’en ai côtoyés… 
C’est pour ça que je sais qu’ils peuvent nous gâcher la vie ! Ils nous rendent malades, nous obsèdent, on pense sans arrêt à eux, on a des envies de meurtre, notre esprit est totalement envahi par eux. 

On s’énerve continuellement parce qu’on ne sait pas comment s’en débarrasser, surtout si le con est un supérieur hiérarchique, une personne très proche ou un professeur… On se sent tellement impuissantque la situation nous ronge, nous « bouffe de l’intérieur ». Notre esprit n’est jamais apaisé parce que l’on sait que l’on va devoir le revoir régulièrement. Ils ont un tel pouvoir sur nous que l’on peut rapidement sombrer dans la dépression

Aujourd’hui, j’ai la chance de pouvoir parler des cons au passé. Nullement parce qu’ils n’existent plus, j’en ai repérés encore pas mal, mais ils ne m’atteignent plus ! 
Rassurez-vous, je ne suis pas une magicienne. J’ai trouvé une solution qui m’a sauvée des cons : j’ai créé, dans mon esprit, une sorte de bulle dont ils sont formellement exclus. 

Impossible à faire, me direz-vous ? Il y a quelques années, j’aurais pensé la même chose que vous. Mais, depuis que j’ai appliqué cette technique, j’ai changé d’avis. Comme on dit souvent, « il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis ! ». 
A un moment, j’ai dit stop, j’en ai eu assez de subir les autres, de vivre en fonction d’eux, d’être bloquée, d’avoir mon esprit pollué par eux, de ne pas vivre la vie comme je l’entendais… 
A partir du moment où j’ai compris que les autres dévoraient ma vie petit à petit, j’ai trouvé en moi les ressources pour qu’ils ne m’atteignent plus. 

Cela n’a pas été facile, j’ai beaucoup cherché et j’ai fini par trouver les techniques pour parvenir à libérer mon esprit, à me libérer de la pression des autres. 
Si vous aussi, vous souhaitez en finir avec les cons, avec ceux qui vous gâchent la vie, procurez-vous mon livre. Etapes par étapes, je vous guide pour qu’enfin, vous osiez et viviez pleinement votre vie ! 


Crédit photo : Clipart © Microsoft Office

vendredi 1 octobre 2010

On parle de mon livre


Un article a été consacré à mon livre...


"Comment croquer la vie à pleines dents... selon Katy Gawelik", voici comment commence l'article qui a été consacré à mon livre.

Cet article a été publié dans Carvin la nouvelle, Le Magazine municipal d'information de la ville de Carvin (dont je suis originaire), dans son n° 178, de Septembre 2010, p. 25. 

Pour voir le magazine, vous pouvez cliquer ici : http://fr.calameo.com/read/0001899441f1176dd2677

Mes ouvrages

- "Faites face aux échecs grâce à la PNL", Katisa Editions 2008, en téléchargement gratuit sur http://www.katisa-editions.com/

- "Soyez Payé Pour Consommer Et Vous Amuser", Katisa Editions 2008, http://url-ok.com/2beb08

- "Les Seuls Vrais Moyens De Vous constituer Un Réseau De Relations Efficace", Katisa Editions 2008, http://url-ok.com/377c54

- "Mes Astuces Pour Combattre Le Mal-Etre" Katisa Editions 2008, http://url-ok.com/872aa4

- "Tout savoir sur les Chakras", Katisa Editions 2007, en téléchargement gratuit sur http://www.katisa-editions.com/

- « Votre Caractère Décide De Votre Réussite », Katisa Editions 2007, http://www.lulu.com/content/1671692

- « Battez-Vous Contre Vos Peurs », Katisa Editions 2007, http://www.lulu.com/content/1671728


En collaboration avec Isabelle Brunet, (en téléchargement gratuit sur le site Katisa Editions http://www.katisa-editions.com/ )

- « Le Temps, Votre Allié Pour La Vie », 2008
- « Maîtrisez l'Art d'Engager La Conversation », 2007
- « Coachez Astucieusement Votre Enfant Durant Sa Scolarité », 2007
- « Guide d'Initiation à La Santé Au Naturel vol.1 », 2007
- « Guide d'Initiation à La Santé Au Naturel vol.2 », 2007